YMCA Aide à l’itinérance - Premier Arrêt

Prévenir l’itinérance et le recrutement à des fins criminelles

Des centaines de personnes seules et sans ressources arrivent à la Gare d'autocars de Montréal chaque année. Or, en sortant dans les environs, la première personne que plusieurs rencontrent au cours de leur première semaine est un proxénète ou un trafiquant de drogue. 

C’est donc pour prévenir l’itinérance et le recrutement à des fins criminelles - les jeunes et les femmes étant les plus touchées - que le programme Premier Arrêt a été créé en 1999. Nos intervenants communautaires, établis à la Gare d’autocars de Montréal, offrent des services de première ligne aux personnes vulnérables qui arrivent, transitent ou gravitent dans les environs de la gare routière.

Nos champs d’action sont les suivants:

  • identifier et approcher les personnes vulnérables ou à risque;
  • référer et accompagner les individus vers les ressources appropriées (banques alimentaires, hébergement d’urgence, soutien juridique, etc.);
  • offrir du soutien psychologique (intervention ponctuelle et d’urgence);
  • rapatrier les gens vers leur milieu d’origine ou un milieu plus propice à leur réinsertion (maison familiale, thérapie, etc.). 

Contact
Pour toutes questions ou pour demander de l’aide:
Gare d’autocars: 1717, rue Berri  
T: 514 284-2247

Partenaires du programme
Ministère de l’Emploi et Solidarité sociale du Québec 
La gare d’autocars de Montréal 
Ville de Montréal
Centraide

«Un énorme merci à l’équipe de Premier Arrêt pour son écoute sans jugement et pour m’avoir permis de reprendre le bon chemin.»

Simone

«Depuis mon premier jour au centre-ville de Montréal, l’équipe de Premier Arrêt a toujours été là pour moi. Sans jugement, avec respect, et toujours avec l’amour de leur métier. Un jour, j’ai décidé de me choisir et d’aller en thérapie. L’équipe de Premier arrêt m’a appuyée et épaulée depuis le début de mes démarches. Aujourd’hui, je suis sur pied et je suis forte. Avec le recul que j’ai aujourd’hui, je peux dire que c’est en partie grâce à eux si je suis toujours vivante. Merci. Je vous aime très fort.»

Fannie

Infolettre des YMCA du Québec